On les utilise en soupe, en salades, en brochettes, en mijotés, en farce…
On les mange chaud ou froid… bien que leurs propriétés nutritionnelles soient mieux conservées lorsqu’ils sont servis froids.
On les tranche, on les émince, on les travaille entiers, on les coupe en quartiers.
On les fait revenir, braiser, suer, caraméliser, mijoter, compoter, sécher, poêler, griller, sauter, brûler même…
Ils sont petits ou gros, jaunes, blancs ou rouges.
Le Québec est un grand producteur d’oignons.
 
Souvent servis en accompagnement, ils gagneraient pourtant à prendre la vedette dans des plats d’une cuisine locale et végétale. Chez nous, les oignons se classent par couleur, rouge, jaune ou vert, et par leur grosseur, petit, moyen ou gros et en deux groupes : les oignons hâtifs ou de conservation, les deuxièmes se retrouvant sur les étals des marchands tout au long de l’hiver. Souvent vendus au secteur HRI en sac de filet de 50 livres à petit prix, les oignons sont les alliés indispensables d’une cuisine savoureuse et accessible.

Le chef Laurent Godbout aime beaucoup les oignons, preuve en est cette recette de Fritures d’oignons jaunes, purée de topinambour et huile de ciboulette (l’oignon ring revisité avec doigté et classe) qu’il propose dans la brochure du Mouvement J’aime les fruits et légumes portant sur les oignons.
 
Pour parcourir cette brochure
Pour découvrir les producteurs d’oignons sur fraicheurquebec
Pour découvrir le cahier Zéro gaspi sur les oignons 
Et pour découvrir des recettes toutes plus alléchantes les unes que les autres