La pomme Ambrosia
- 24 octobre 2019
Sur le plan de la production, sachez cependant, qu’elle demande un peu plus de temps que plusieurs autres variétés québécoises à devenir mature. De ce fait, la « Ambrosia » se cultive beaucoup dans le sud de la province, là où l’été est parfois deux semaines plus long, ce qui fait qu’on la trouve plus facilement dans le coin de Montréal que dans celui de la Capitale-Nationale. Beaucoup de producteurs de la Montérégie plantent des pommiers Ambrosia dans leur nouveau verger, le rendement est excellent et la pomme d’un bon calibre.
L’Ambrosia est une pomme que les chefs et les pâtissiers aimeront cuisiner, et ce pour plusieurs raisons, dont le fait que sa chair ne s’oxyde pas rapidement et qu’elle garde sa forme à la cuisson. D’ailleurs, lors de tests de cuisson effectués récemment, elle sort dans les premières variétés à utiliser entière au four ou lors de cuisson sous-vide. Râpée ou coupée en julienne, c’est une de celles qui brunit le moins vite, ce qui est bien utile lorsque le temps de préparation d’un plat est plus long.
Facilement reconnaissable avec sa forme conique et sa couleur rosée sur fond de jaune-vert, elle se démarque visuellement des autres variétés. Sa chair de couleur beige, juteuse, aromatique et à la texture croquante, son goût bien sucré et sa faible teneur en acidité en font une pomme qui se prête autant à une préparation crue que cuite. Elle est excellente à croquer et se place parfaitement sur un plateau de fromages du Québec. Elle agrémente bien aussi une salade de fruits ; son goût, sa texture et sa couleur rosée s’y marient bien. Elle se cuisine étonnamment de multiples façons.
Voilà une pomme polyvalente et intéressante qui ne demande qu’à être mieux découverte! Repérez les producteurs du Québec qui la cultivent en cliquant ici.
L’Ambrosia est une pomme que les chefs et les pâtissiers aimeront cuisiner, et ce pour plusieurs raisons, dont le fait que sa chair ne s’oxyde pas rapidement et qu’elle garde sa forme à la cuisson. D’ailleurs, lors de tests de cuisson effectués récemment, elle sort dans les premières variétés à utiliser entière au four ou lors de cuisson sous-vide. Râpée ou coupée en julienne, c’est une de celles qui brunit le moins vite, ce qui est bien utile lorsque le temps de préparation d’un plat est plus long.
Facilement reconnaissable avec sa forme conique et sa couleur rosée sur fond de jaune-vert, elle se démarque visuellement des autres variétés. Sa chair de couleur beige, juteuse, aromatique et à la texture croquante, son goût bien sucré et sa faible teneur en acidité en font une pomme qui se prête autant à une préparation crue que cuite. Elle est excellente à croquer et se place parfaitement sur un plateau de fromages du Québec. Elle agrémente bien aussi une salade de fruits ; son goût, sa texture et sa couleur rosée s’y marient bien. Elle se cuisine étonnamment de multiples façons.
Voilà une pomme polyvalente et intéressante qui ne demande qu’à être mieux découverte! Repérez les producteurs du Québec qui la cultivent en cliquant ici.