On le retrouve souvent dans la cuisine asiatique, car il fait, de par sa vibrante couleur verte - même lorsqu’il est cuit – mais surtout par son goût doux et peu amer, un accompagnement de choix de multiples plats.
 
Sauté, il est croquant, braisé, il fond dans la bouche, poêlé, il est d’une simplicité déconcertante à faire cuire. À l’ail, au sésame, au gingembre, cuit avec un peu de sauce Hoisin aux huitres ou encore soya, avec un soupçon de miel ou de sirop d’érable, haché cru en salade ou ajouté à une soupe, le bok choy est bien polyvalent.
 
Facile à cultiver en serre, il demande moins de chaleur qu’une tomate ou un poivron. On suggère même aux jardiniers de les mettre en terre à la fin de l’été, alors que les grandes chaleurs sont terminées, car ce légume ne les apprécie pas trop.
 
La consommation de cet excellent légume vert - riche en antioxydants et en calcium, peu dispendieux, qui se conserve plusieurs jours au frigo dans un sac de plastique perforé - ne fait pas encore tellement partie des habitudes culinaires des Québécois. Mais comme plusieurs producteurs en serre ont le projet de planter plus de légumes asiatiques dans les serres, alors peut-être verra-t-on plus fréquemment celui-ci au menu des restaurants de tous genres, et pas seulement ceux qui sont spécialisés dans la cuisine asiatique?
 
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